Avec Yum Asia Sakura, cuire le riz comme un professionnel devient une réalité. On manque souvent de précision lors de l’étuvage de cet aliment qui se consomme à toutes les sauces de nos jours. Avec cet appareil, le fabricant entend poursuivre la révolution qu’il a entamée en 2006, en mettant sur le marché ses premiers modèles. 

Pour faire de ces appareils électroménagers les meilleurs du domaine, il les a équipés des derniers programmes avant-gardistes. Ainsi, on a droit à une combinaison parfaite entre un dispositif pour cuire le riz et un multicuiseur. Découvrez pourquoi ce dispositif de cuisson est un coup de cœur à considérer. 

Caractéristiques et fiche technique

Puissance860 W
Poids5,05 kg
Capacité (volume)1.5 L
MatériauxPlastique - Cuve en céramique
Programme de cuissonOui, au total 9 modes de cuisson
Types de cuissonCuisson à la vapeur, cuisson riz, gâteaux, yaourt, réchauffage...
Technologies intégrées- 6 modes de cuisson multifonction et 3 modes de cuisson riz
- Fonction maintien au chaud
- Compte à rebours
Minuteur min/max0 - 60 min
Niveau sonoreNA
Dimensions (Lxlxh)41 x 32 x 26  cm
Notice & recettesLire la notice
Garantie2 ans
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Yum Asia Sakura Cuiseur à riz avec bol en céramique et logique floue...
  • RIZ PARFAIT AU TOUCHE D'UN BOUTON - Réglages de riz blanc / long...

Design et ergonomie cuiseur de riz Yum Asia Sakura 

Disponible en assemblage de couleur blanc/argent et noir/argent, ce modèle est certainement ce qui se fait de mieux dans le domaine de la cuisson multifonction du riz. Sur ce Sakura, la marque a choisi de recouvrir la coque d’une belle couleur blanche qui rappelle celle du riz. La partie supérieure pour sa part revêt un couvercle en argent brossé. 

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Des patins antidérapants permettent de retenir et de stabiliser les 5,05 kg qui résultent de l’acier inoxydable et du polyester dont il bénéficie. Il est assez résistant et on sait ainsi qu’il va conserver une bonne durabilité.  

Sa capacité de 1,5 L est comblée par une puissance de ‎ 860 Watts. Il s’agit d’un cuiseur de riz multifonction qui est assez encombrant, car ses dimensions de 41 x 32 x 26 cm ne sont pas très compactes. Il faudra donc un espace sur le plan de travail pour son installation. 

[Vidéo Commodité d’emploi]

Crédits : Vidéo marque Yum Asia

Commodité d’emploi 

Pouvoir se servir d’un appareil sans avoir besoin de recourir à des ustensiles supplémentaires est un attrait auquel les utilisateurs ne peuvent pas résister. Ce Sakura passe ce test haut la main, il est possible de le transporter aisément grâce à l’anse qui l’accompagne. La cuve n’est pas en reste, elle dispose de manches thermo-isolées. 

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La cuve qui contient le riz est muni de poignées pour retirer facilement

Avec le bol en céramique qui bénéficie d’une épaisseur de 5 couches pour un total de 2 mm, il est possible de cuisiner sans peur de voir les aliments coller. Un indicateur de niveau permet de suivre les recommandations sur le dosage de l’eau et des différents types de riz sans se tromper. 

Les risques de santé liée à l’utilisation de ce type d’appareil sont énormément réduits. En effet, le fabricant propose un électroménager sans BPA ni PTFE/PFOA. Ainsi, les repas cuits sont sains aussi bien pour les petits que les grands. 

Pour faciliter sa prise en main, l’acheteur a droit à un manuel d’instructions et un guide de démarrage. On constate avec regret l’absence d’un livre de recettes ou d’une application. Ces dernières auraient pu apporter une meilleure expérience lors de l’utilisation. 

Par contre, il est appréciable que le cuiseur à riz Yum Asia Sakura soit accompagné d’un certain nombre d’accessoires : 

  • Un panier à vapeur 
  • Une tasse pour mesurer 
  • Une spatule 
  • Un support de spatule 
  • Une louche à soupe.  

Avec ces accessoires, plus besoin de dépenser pour l’achat ustensiles importants pour la préparation du riz. 

Pour rentrer les informations, il suffit d’utiliser panneau de commande « Motouch ». Ce dernier bénéficie d’une conception coréenne à la pointe de la technologie et dispose d’un écran LED et un afficheur numérique. Il est installé sur la face avant de ce cuiseur de riz.  

Par ailleurs, la couleur bleue glaciale de l’écran LCD et son niveau d’intensité lumineuse facilitent la lecture des informations. Malheureusement, ces dernières sont en anglais. Il faudra, comme c’est souvent le cas, se munir d’un dictionnaire pour comprendre les différentes fonctions auxquelles on a droit. 

Fonctionnalités et programmes  

Le cuiseur de riz de Yum Asia peut se vanter de tenir sa polyvalence de ses bonnes capacités de cuisson qui mettent en place un ensemble d’options d’étuvage à la fois avancée et simple à utiliser. 

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Panneau de commandes et de sous-menus de Yum Asia Sakura

– Technologie de cuisson de riz Fuzzy Logic (technologie avancée de logique floue)  

Il s’agit d’une technologie qui se base sur 7 phases de cuisson contrôlée par un microprocesseur IA présent dans ce cuiseur à riz Sakura Yum Asia. Elle est plus avancée par rapport au modèle de la marque Yum Asia Tsuki. Les 7 phases de cuisson permettent de préparer les graines de la manière la plus appropriée en fonction du type de riz (long grain, court grain, riz blanc, riz brun, riz basmati…).  

Ainsi, le cuiseur offre un contrôle sur la température la plus optimale pour chaque type de riz, peu importe sa nature et sa composition. Avec cette solution, il est simple de décider de cuire son riz rapidement tout en respectant les 7 phases essentielles à la création du goût. 

– 6 modes de cuisson multifonction 

Ces programmes rappellent ceux présents sur les multicuiseurs. C’est d’ailleurs l’un des avantages de ce modèle, il permet d’étuver différents aliments en plus d’offrir une cuisson professionnelle du riz. Il s’agit de Porridge (Bouillie), de Slow cook (Cuisson lente), Steam (Cuisson vapeur), Cake (Gateau), Soup (Soupe), Yoghourt (Yaourt). 

– 3 menus de cuisson pour le riz 

Parce qu’une bonne cuisson de cette céréale peut faire toute la différence en termes de goût, le fabricant ne se limite pas à offrir un grand choix sur le type de riz cuisiné. En effet, il varie aussi la rapidité et la présentation finale. Pour ce faire, l’appareil propose 3 menus de cuisson de riz :  

  • Crust, pour obtenir du riz avec une croûte (Tahdig)  
  • Regular pour bénéficier d’une cuisson sans vapeur  
  • Fast cook pour réaliser une cuisson plus rapide. 

– Fonction de maintien au chaud  

Elle s’active automatiquement et s’étend sur 24 h. Avec cette dernière, passer d’un mode cuisson à une conservation de la chaleur se fait naturellement. Il est important de noter que le fabricant a réussi à proposer une solution qui évite de bruler le riz. 

Fonction de minuterie et départ différé 

Elle tient aussi sur une journée et est donc assez large pour inclure 24 h de cuisson. Ce réglage permet de préparer des aliments de manière programmée, ce qui est idéal pour obtenir des repas à une heure indiquée. 

– Compte à rebours  

Il s’active pour signaler les 10 dernières minutes de la cuisson du riz. De plus, il avertit l’utilisateur de la fin proche de la préparation par un bip sonore. En effet, cela permet d’intervenir pour empêcher l’activation du maintien au chaud s’il n’en a pas besoin. 

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Cuisson  

Le cuiseur de riz Sakura bénéficie d’une fonction marche/arrêt et d’une technologie de chauffage 3D. La résistance au bas de la cuve se charge de créer la chaleur et la disperse efficacement sur les côtés du bol pour que les aliments soient enrobés par le même niveau de température. Le riz cuit ainsi de manière uniforme. 

Grâce à la touche Rice (Riz), il est possible de régler la cuisson du riz pour qu’il soit respectueux du type de riz. Dès lors, le temps de cuisson variera en fonction du riz blanc, du long grain, du grain court, du sushi et du riz brun. Toutefois, peu importe le type, ce cuiseur de riz semi-professionnel s’assure de préchauffer entre 50 et 60 °C. Le but ici est de libérer les sucres du riz dans l’eau. 

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Bonne cuisson de divers riz qui ne colle pas, parfait pour s’accompagner avec une multitude de sauce

L’eau est ensuite absorbée et la température grimpe pour se limiter à 80 °C. Le chauffage lance la préparation proprement dite et fait passer la chaleur à 85 °C. Il est suivi de l’ébullition à 100 °C et participe à réduire l’eau de cuisson présente. La vapeur produite est la 5e étape, elle favorise la réabsorption des sucres offrant ainsi un plat à la texture et à l’arôme parfait. 

Cette étape est aussi la clé pour obtenir un riz rempli de nutriments. Ainsi, elle est suivie par le refroidissement qui participe à l’équilibrage de l’eau. La température utilisée à ce niveau permet de conserver une certaine humidité tout en s’assurant que l’eau est bien évaporée. Enfin, pour couronner cette cuisson réussie, le maintien au chaud prend les reines et n’excède pas 60 °C protégeant ainsi le riz des bactéries. 

Lors de notre test de Yum Asia Sakura, nous avons pu constater que ce format familial est capable de contenir 8 tasses de graines et de nourrir 8 personnes. En outre, la polyvalence de ce Sakura nous a permis de l’utiliser comme mijoteuse pour faire du poulet idéal pour accompagner notre riz.  

La pâtisserie n’a pas échappé à cette règle avec la cuisson d’un gâteau et la confection de yaourts fait maison. Nul doute qu’il est bien plus polyvalent et justifie son prix par rapport au cuiseur de riz Reishunger 1.2 L

Entretien du cuiseur de riz Yum Asia Sakura 

Un cuiseur de riz tout comme un multicuiseur ou un mijoteur doit se nettoyer après chaque utilisation. Mais, cela ne se fait pas n’importe comment, il est important de prendre la peine de lire le manuel pour éviter des erreurs qui pourraient endommager votre appareil ou le rendre moins performant. 

Par exemple, il est déconseillé lors de l’assainissement de ce cuiseur de riz d’utiliser des produits comme le vinaigre. Le bol se nettoie uniquement avec un produit non abrasif et de l’eau. Ne vous servez pas d’une éponge qui pourrait gratter le revêtement en céramique. Privilégiez l’achat d’une éponge de cuisine non abrasif

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Les différents accessoires peuvent aller au lave-vaisselle sauf la partie principale

Le corps de ce multicuiseur riz n’a besoin que d’un tissu doux pour enlever les traces de doigts et les marques d’utilisation. L’extérieur en thermopolymère lisse s’essuie facilement et permet à l’ensemble de bénéficier d’une bonne hygiène. 

Si le couvercle n’est pas amovible, son intérieur en acier inoxydable se retire assez aisément. Il suffit de tirer les verrous présents de chaque côté de ce dernier pour sortir cette partie. En revanche, il est important de nettoyer cette partie avec de l’eau, du savon et une éponge. Il se remet simplement en place en glissant les deux languettes supérieures en haut et en appuyant sur les verrous de déverrouillage en bas. La production d’un clic rassure sur l’installation de cette partie. 

Le capuchon de vapeur ainsi que le collecteur de condensation sont aussi en acier inoxydable et ils sont tous amovibles. Ces éléments ne passent pas au lave-vaisselle et demandent un nettoyage manuel. Si l’entretien de ce modèle est facile, il est important de préciser que la disponibilité de pièce détachée fait défaut. 

Bruit sonore  

Ce cuiseur de riz de marque Yum Asia reste dans la logique du silence même si l’on peut entendre son moteur se mettre en marche. Il en est de même pour la résistance qui émet un léger bruit quand le microprocesseur ajuste la température. 

Ces quelques indicateurs de fonctionnement mis à part, on a droit à un modèle qui sait se faire oublier. C’est à peine si l’on entend les différents sons qui annoncent le démarrage de la cuisson et, par la suite, rappeler la fin de la cuisson. 

Cuiseur de riz Yum Asia Sakura vs Yum Asia Panda : lequel acheter ?  

La cuisson du riz est très importante pour la marque Yum Asia. Pour faciliter l’utilisation de ces appareils, elle a donc choisi de proposer au public différents formats de cuiseur de riz. 

– Design et caractéristiques  

Les deux versions se ressemblent un peu. Mais, le Yum Asia Panda offre des pieds antidérapants plus apparents. Il dispose de deux poignées de transport, ce que le Sakura n’a pas. Néanmoins, l’anse est présente sur les deux équipements de cuisine. 

Les coloris diffèrent, on est passé du blanc avec de l’argent pour le Sakura à du blanc et gris pour le Panda. Ce dernier est plus compact, il est recommandé pour les petits espaces de vies. 

Ainsi, le Panda est une version mini de son ainé, son poids de 2 kg pour une capacité de 0,63 L et une puissance de 350 Watts le confirme. Toutefois, avec son grand-frère, on a droit à 1,5 litre pour ‎ 860 Watts et une masse de 5,05 kg. L’écran de ce dernier bénéficie d’une technologie « Motouch » contre un panneau de commande « Smart Button » qui met l’accent sur le gris et le blanc pour le Panda. 

Mais là où le Sakura Yum Asia permet de profiter de poignée pour utiliser sa cuve, le panda est loin du compte. Il ne dispose pas de manches pour faciliter cette tâche, ce qui est dommage.  

Toutefois, la qualité du bol reste la même avec une bonne épaisseur et un revêtement antiadhésif. Les accessoires présents sur le Sakura sont aussi ceux qui accompagnent le Panda. 

– Fonctionnalités et cuisson

C’est à ce niveau que des différences flagrantes apparaissent. Le Panda inclut certes 4 fonctions riz, mais se contente de 4 programmes additionnels. Pendant ce temps, le Sakura offre pourtant 3 modes de cuisson de riz, mais sa touche Rice (Riz) donne accès à 5 types de riz en plus des 6 menus de cuisson multifonction dont il dispose. 

Pour la cuisson, même si le départ différé et le maintien au chaud sont des fonctionnalités que les deux cuiseurs de riz partagent, c’est la fonction avancée de logique floue IA qui crée un grand fossé. Elle permet au Sakura grâce à la touche Rice de personnaliser encore plus les cuissons. 

– Prix 

Pour moins de 150 euros pour le Sakura contre environ 100 euros pour le Panda, nous estimons qu’une rallonge de 50 euros pour obtenir le Sakura est un investissement logique quand on a une famille de fans de riz. De plus, il vous permettra de mijoter certains menus tout en confectionnant le yaourt pour la famille.  

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+ Points forts  

  • Cuve de cuisson munie de poignée 
  • Centre de commande « Motouch » 
  • Technologie avancée de logique floue par IA 
  • 6 modes de cuisson multifonction 
  • 3 menus de cuisson pour le riz 
  • Touche Rice pour accéder à 5 types de riz 
  • Départ différé et maintien au chaud. 

– Points faibles 

  • Disponibilité des pièces détachées complexe 
  • L’absence d’un livre de recettes et celle d’une application. 

Note finale et verdict  

Le Yum Asia Sakura est un cuiseur riz multifonction qui a de nombreux atouts à faire valoir. De sa conception adaptée aux cuisines modernes aux poignées présentes sur sa cuve de cuisson, cet appareil est un appel à l’étuvage sain et savoureux du riz. 

D’ailleurs, pour y parvenir, la technologie avancée de logique floue par IA intégrée sur ce modèle fait toute la différence. Les avis sur Yum Asia Sakura sont en accord pour affirmer qu’il permet de valider les 7 étapes nécessaires à la préparation du riz sans échec. Les résultats sont tellement bons qu’ils se répercutent sur le maintien au chaud qui réussit l’exploit de garder la chaleur sans pour autant bruler le plat. 

Cette efficacité est complétée par une polyvalence de cuisson. En effet, ce cuiseur de riz peut aussi faire office de multicuiseur. Il est néanmoins dommage que l’utilisateur n’ait pas droit à une application ou un livre de recettes. Enfin, la marque devrait tout faire pour améliorer son offre en termes de pièces détachées.